La liquidation de l'HUICOMA.
Contrairement aux idées reçues, la précarité sociale, la misère sociale et les bas salaires sont les alliés objectifs du pouvoir en place car ils brisent, à moyen terme, toute mobilisation syndicale et sont de fait les ennemis de la lutte des travailleurs et de la résistance sociale. Le développement actuel du capitalisme dans notre pays continue de marginaliser de façon impitoyable les masses populaires, les plongent dans une misère exécrable. Les ouvriers se sont donc trouvés dans des “impasses”.
Ainsi depuis le 10 novembre, les travailleurs de HUICOMA licenciés ont décidé d’organiser un siège à la bourse du travail pour une fois de plus se faire entendre au près des autorités de la république du mali et expliquer à l’opinion nationale et internationale la situation qui prévaut au sein de L ,HUICOMA et des villes (Koulikoro ,Koutiala, Kita ) qui abritent ses différentes unités industrielles. Ce setting est la suite logique d’autres actions menées par les travailleurs comme les marches du 24 /09/2009 à Koulikoro et du 06/ 10/2009 à Koutiala.
Ces activités ont étés également suivies Dun meeting le 24 octobre 2009 a’ Koulikoro.
Malgré les chômages techniques et licenciements sans Droits ni titre, les emprisonnements, les morts et la mort des villes entières la télé Nationale ne daigne même pas donner la parole aux grévistes.
Points de revendication des grévistes de l’HUICOMA
• Le retrait sans délai et sans condition de HUICOMA au groupe TOMOTA
• Le paiement sans délai et sans condition des mesures d’accompagnement
• La reprise sans délai et sans condition des activités de l’entreprise
• Le paiement de six mois d’arriéré de salaire
• Les régularisations administratives (avancement et reclassement)
• Le versement à l’INPS des cotisations sociales
• Le paiement des droits des travailleurs et syndicalistes licenciés et emprisonnés
. Le parti SADI, conforme à ses idéaux de justice, d’équité et de lutte contre la misère se sent interpellé à tous les coups par ces luttes. Mieux, il s’agit pour le parti d’insuffler à ces luttes une conscience politique afin de désaliéner nos masses seules capables de changer le cours de l’histoire. C’est pourquoi le parti a répondu présent aux sollicitations des ouvriers de Morila, aux paysans soumis à l’expropriation de leur terre notamment ceux de l’office du Niger, aux ouvriers des chemins de fer, de la CMDT aux victimes des dénis de justice etc. Cette attitude est la traduction concrète du plan d’action qui nous recommande d’être présents au sein des masses en lutte. Et depuis le 10 novembre 2009 aux cotés des travailleurs à la bourse du travail et bien avant .en se posant la question :
Comment une information, contrôlée par les grands médias qui travaillent au détriment de la population et à une idéologie qui la dessert, ainsi qu'à un modèle capitaliste de consommation, peut-elle permettre l'épanouissement de la démocratie ? Aussi la radio kayira participe à relayer l’information et à soutenir les grévistes de l’HUICOMA en tant media populaire et alternatif qui est la voix aux sans voix et des opprimés.
Kadialy Traoré.
Ainsi depuis le 10 novembre, les travailleurs de HUICOMA licenciés ont décidé d’organiser un siège à la bourse du travail pour une fois de plus se faire entendre au près des autorités de la république du mali et expliquer à l’opinion nationale et internationale la situation qui prévaut au sein de L ,HUICOMA et des villes (Koulikoro ,Koutiala, Kita ) qui abritent ses différentes unités industrielles. Ce setting est la suite logique d’autres actions menées par les travailleurs comme les marches du 24 /09/2009 à Koulikoro et du 06/ 10/2009 à Koutiala.
Ces activités ont étés également suivies Dun meeting le 24 octobre 2009 a’ Koulikoro.
Malgré les chômages techniques et licenciements sans Droits ni titre, les emprisonnements, les morts et la mort des villes entières la télé Nationale ne daigne même pas donner la parole aux grévistes.
Points de revendication des grévistes de l’HUICOMA
• Le retrait sans délai et sans condition de HUICOMA au groupe TOMOTA
• Le paiement sans délai et sans condition des mesures d’accompagnement
• La reprise sans délai et sans condition des activités de l’entreprise
• Le paiement de six mois d’arriéré de salaire
• Les régularisations administratives (avancement et reclassement)
• Le versement à l’INPS des cotisations sociales
• Le paiement des droits des travailleurs et syndicalistes licenciés et emprisonnés
. Le parti SADI, conforme à ses idéaux de justice, d’équité et de lutte contre la misère se sent interpellé à tous les coups par ces luttes. Mieux, il s’agit pour le parti d’insuffler à ces luttes une conscience politique afin de désaliéner nos masses seules capables de changer le cours de l’histoire. C’est pourquoi le parti a répondu présent aux sollicitations des ouvriers de Morila, aux paysans soumis à l’expropriation de leur terre notamment ceux de l’office du Niger, aux ouvriers des chemins de fer, de la CMDT aux victimes des dénis de justice etc. Cette attitude est la traduction concrète du plan d’action qui nous recommande d’être présents au sein des masses en lutte. Et depuis le 10 novembre 2009 aux cotés des travailleurs à la bourse du travail et bien avant .en se posant la question :
Comment une information, contrôlée par les grands médias qui travaillent au détriment de la population et à une idéologie qui la dessert, ainsi qu'à un modèle capitaliste de consommation, peut-elle permettre l'épanouissement de la démocratie ? Aussi la radio kayira participe à relayer l’information et à soutenir les grévistes de l’HUICOMA en tant media populaire et alternatif qui est la voix aux sans voix et des opprimés.
Kadialy Traoré.
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